Notre méthode pédagogique

L’apprenant devient acteur dès le premier jour via des challenges concrets. Les cas sont inspirés de vrais besoins d’entreprises partenaires, ce qui ancre les savoirs dans le réel. Il est mis en situation de résolution de problème, prise d’initiative, construction de stratégie.

Exemples :

• Simulation de cold call pour un logiciel B2B.
• Lancement d’un mini-funnel d’acquisition pour une startup.
• Diagnostic commercial d’un client réel en challenge.

La pédagogie repose sur la répétition maîtrisée de gestes métier clés, ce que Rocket School appelle le SCOM (Socle de Compétences Opérationnelles Métier). Chaque compétence clé est réactivée régulièrement dans des contextes variés pour favoriser l’automatisation et l’efficacité.

Exemples :

• Relancer un prospect par mail dans 3 challenges différents.
• Identifier les bons ICP à partir de bases de données variées.
• Pitcher un projet en visio, en présentiel, en 1 min ou 10 min.

L’objectif n’est pas d’enseigner exhaustivement un métier, mais de donner les bases solides pour permettre à l’apprenant de continuer seul sa montée en compétences. Dès le démarrage, il apprend à :

• Chercher l’information pertinente (veille sectorielle, benchmark outils, tendances).
• Partager et collaborer avec ses pairs via Slack, notion, ou autres.
• S’autoformer, à travers des tutoriels, articles ou formats courts.
• Faire preuve de discernement, en sélectionnant les outils et méthodes adaptés au contexte.

Exemples :

• L’apprenant découvre un outil non connu via une vidéo YouTube et le met en application dans le TP suivant.
• Il documente ses apprentissages et les partage à sa promo.

Le groupe est un levier d’apprentissage essentiel : feedbacks, entraide, mise en commun.
L’animation de la promo (Slack, rétros, debriefs croisés) valorise les apprentissages collaboratifs et l’intelligence collective.

Exemples :

• Debriefs collectifs après un pitch client, où chaque pair donne un feedback constructif.
• Codéveloppement entre promotions sur des problématiques rencontrées.

Les outils digitaux sont des moyens, pas des fins. Le métier de business developer ou CSM repose d’abord sur la stratégie, la posture, l’organisation et la méthode.

Exemples :

• Les premiers challenges sont  volontairement non outillés, pour forcer la structuration manuelle et stratégique.
• Analyse comparative d’outils avant de les intégrer à une séquence automatisée.

Chaque apprentissage est centré sur la compréhension du client, non sur le produit ou service vendu. On développe une posture d’écoute, d’empathie et de reformulation, clé dans les métiers de l’acquisition.

Exemples :

• Séances d’acculturation métier avant de réaliser un challenge : comprendre le rôle et les pain points d’un prospect avant même de savoir ce que l’on vend.
• Jeu de rôle avec une posture découverte approfondie avant tout pitch.